Vous pouvez lire notre proposition ainsi que nos questions sur le site du député en cliquant ici
Quand François Cote rencontre François Rochebloine à François Villon ! Quelle histoire de François !!!
CM2VILLON
En 1861-62, Monet sert dans l'armée en Algérie. Sa tante Lecadre accepte de l'en faire sortir s'il prend des cours d'art à l'université. Il quitte donc l'armée, mais n'aime pas les styles traditionnels de peinture enseignés à l'université.
En 1862, il étudie l'art avec Charles Gleyre à Paris où il rencontre Pierre-Auguste Renoir avec qui il fonde le mouvement impressionniste. Ils ont peint ensemble et ont maintenu une amitié durant toute leur vie.
Un de ses modèles, Camille Doncieux, deviendra quelques années plus tard son épouse. Elle lui servit plusieurs fois de modèle, notamment pour Femmes dans le jardin, peint vers la fin des années 1860. Ils aménagent dans une maison à Argenteuil, près de la Seine, après la naissance de leur premier enfant. Ils vivent ensuite à Vetheuil où Camille décède le 5 septembre 1879 ; il l'a peinte sur son lit de mort. Monet s'installe alors définitivement en Haute-Normandie, dans une maison de Giverny, près de Vernon (Eure), où il aménage un grand jardin et crée le bassin qui lui inspirera quelques-unes de ses toiles les plus connues.
En 1872, il peint un paysage du Havre : Impression, soleil levant (actuellement au Musée Marmottan à Paris). Cette œuvre fut présentée au public lors de la première exposition impressionniste en 1874. La manifestation n'eut pas le grand succès attendu par les peintres et un grand nombre de comptes-rendus furent assez hostiles, particulièrement celui provenant du critique Louis Leroy du Charivari qui, inspiré du tableau de Monet se servit du mot impression pour se moquer du style des exposants. Lors de la troisième exposition impressionniste, en 1876, les peintres eux-mêmes utilisent ce terme d'impressionnisme pour identifier leur style. Cette première exposition était organisée par un groupe de peintres dont Monet avait prit la tête, la Société anonyme des artistes peintres, sculpteurs et graveurs en réaction contre le "Salon" officiel.
Léonard de Vinci (Leonardo di ser Piero da Vinci écouter, dit Leonardo da Vinci[Note 2]), né à Vinci le 15 avril 1452 et mort à Amboise le 2 mai 1519, est un peintre florentin, qui fut un homme d'esprit universel, à la fois artiste, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.
Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l'invitation du roi François Ier
Henri Matisse ,né le 31 décembre 1869 au cateau-Cambrésis et mort le 3 novembre 1954 à Nice. C'est un peintre, dessinateur et sculpteur français.
Il fut le chef de file du fauvisme; Pablo Picasso le considérait comme son grand rival et néanmoins ami.
« Il faut regarder toute la vie avec des yeux d'enfant »1953.
Vincent van Gogh, Autoportrait au chapeau de feutre, 1887 | |
Nom de naissance | Vincent Willem van Gogh |
---|---|
Naissance | |
Décès | |
Nationalité | |
Activité(s) | |
Maître | Anton Mauve |
Mouvement artistique | |
Œuvres réputées | Les Mangeurs de pommes de terre, La Chambre de van Gogh à Arles, Les Iris, Autoportraits |
Influencé par |
Vincent van Gogh (* 30 mars 1853 à Groot-Zundert aux Pays-Bas - † 29 juillet 1890 à Auvers-sur-Oise), en néerlandais [vɪnˈsɛnt vɑn'xɔx] (la prononciation d'usage en France étant [vɛ̃sɑ̃ vɑ̃ gɔg]), est un peintre et dessinateur néerlandais.
Son œuvre pleine de naturalisme, inspirée par l'impressionnisme, le divisionnisme et le pointillisme, presque inconnue à sa mort, annonce le fauvisme et l'expressionnisme et même le cubisme.
Degas exécuta de nombreuses copies des grands classiques du Musée du Louvre; devant les maîtres, il se lie avec Manet. En 1856, on le trouve en Italie où il visite méticuleusement palais et musées. Dans ses premières oeuvres dominent les thèmes historiques : Sémiramis élevant les Murs d'une Ville (1860), Les malheurs de la Ville d'Orléans (1865), etc.
Le puissant ministre Olivares fut dès l'origine un protecteur fidèle et efficace de Vélasquez. Les traits sombres et impassibles de son visage nous sont bien connus grâce aux nombreux portraits réalisés par le peintre. Parmi eux, deux sont particulièrement réussis : sur le premier, le comte-duc, représenté en pied, pose très officiellement et arbore la croix verte de l'Alcantara. Le second (voir ci-dessus) est un grand portrait équestre dépeignant Olivares de manière assez flatteuse comme un maréchal en pleine bataille. Ces deux portraits illustrent la gratitude de Vélasquez envers celui qui fut son premier protecteur : le peintre n'abandonna d'ailleurs pas Olivares après sa disgrâce, au risque de s'attirer la colère et la jalousie de Philippe. Mais le roi ne semble pas en avoir tenu rigueur à son artiste favori.
La reddition de Breda, ou Les Lances
1634-1635 (307,5 x 370,5 cm)
Musée du Prado, Madrid
Quant à la célèbre Reddition de Breda, réalisée à la même époque, l'inspiration en vint à Vélasquez suite à son voyage en compagnie du marquis de Spinola, qui avait soumis cette ville hollandaise quelques années auparavant. Ce chef-d'œuvre illustre l'échange de la clé de la ville entre soldats néerlandais et espagnols. On perçoit l'influence du Greco dans la manière de diviser le tableau en deux côtés pratiquement autonomes l'un par rapport à l'autre. La reddition de Breda était l'une des douze peintures destinées à l'ornement du grand salon d'apparat du tout nouveau palais royal de Madrid, le Buen Retiro. Chacun des douze tableaux, réalisés par Vélasquez ou d'autres artistes, devait représenter l'une des douze grandes victoires remportées par les armées de Philippe IV depuis le début de son règne, en 1621, jusqu'en 1633. L'œuvre de Vélasquez met l'accent sur la soumission totale du représentant des Néerlandais, ainsi que sur la magnanimité généreuse et bienveillante du marquis de Spinola, la supériorité militaire espagnole étant symbolisée par l'impressionnante nuée de lances en arrière-plan.